« Comment on peut souffrir de ce que les gens pensent de nous ou encore que ces derniers est une bonne opinion de nous? » C’est au moment où Audrey venait me répondre que je prenais conscience de ce que venais de dire et que d’un côté je laissais une partie des choses qui m’avais blessé lors de mon arrestation. Le fait que mon père est joué au lâche et qu’il préfère laissé son fils aller en prison à sa place, cela je pouvais le comprendre, mais ce que je ne comprenais moins c’était pour ceux qui étaient normalement mes « amis » des gens pour qui j’ai toujours été là quand ils vivaient un moment difficile on disparut du jour au lendemain sans cherché à prendre de mes nouvelles ni même à m’aider dans cette période difficile ! J’ignorais si la jeune femme savait ou non que comme elle je cherchais à enterrer une partie de mon passé pour que personne ne soit au courant de cela, mais ce que je savais à présent c’est qu’à la suite de mes propres mots, elle avait pas mal de question qui lui trottait dans la tête et malheureusement j’ai bien peur qu’elle n’essai pas de faire un lien si tout comme moi elle a remarqué que l’un et l’autre on ne parlait pas de notre passé pour que personne ne sachent rien de nous pour les mêmes raisons ! Ce que je devais maintenant c’était réussir à garder une conversation qui ne semblait pas m’affecter, mais pour être réellement honnête depuis quelques temps, plus précisément depuis que je savais que Nathan Scott était au courant de ce qui m’étais arrivé pendant cinq longues années mais surtout pourquoi, chaque petites choses qui pouvait me le rappelait m’envoyé directement une bonne grosse claque dans la gueule, et je peux vous garantir que comparait à celle d’Audrey elle pouvait me mettre au sol en un rien de temps, sans que je comprenne ce qu’il ce passait ! C’est donc un peu perplexe et bien moins sur de moi que je venais reprendre ma respiration pour venir répondre à la jeune femme, et je savais qu’elle n’était pas bête et que ma réaction elle allait la voir bien différente de ce que je lui avais montré jusqu’à présent, il fallait juste que j’arrive à me reprendre… « Il y a un moment où on fini par souffrir de ce que les gens pensent de nous, alors qu’elle soit bonne nous écrase un peu plus au sol ! » Ce n’était pas gagné pour que je réussisse à me reprendre, depuis que l’on ce connaissait, je savais aussi bien qu’elle que j’arrivais à mener ce jeu parce que jusque là j’avais réussi à garder le contrôle de tout ce qu’il ce passait quoi qu’elle dise ou qu’elle fasse, mais là je venais de me piéger tout seul et je ne savais pas réellement ce qui était en train de m’arriver !

« Peut-être. C’était une erreur, voilà tout. » Une erreur, c’est vrai que l’on faisait souvent des erreurs quel que soit la personne, mais c’était souvent une excuses pour ne pas à avoir à ce justifier, ou encore même pour ce convaincre que cela n’arrivera plus. Mais honnêtement est-ce que cela marchait réellement ? Pour ma pars cela n’avait jamais été le cas et ça ne le sera jamais. Tous les gestes que l’on commet étaient quelque chose que l’on souhaitait faire, que l’on en souffre ou non au final. « Je ne crois pas aux erreurs ! » Qui aurait pu croire que la jeune femme allait enfin finir par céder ? En totu cas pas moi, si je pensais que ça allait arriver un jour ne m’imaginais pas une seule seconde même dans mes rêves les plus fous qu’aujourd’hui je pourrais déposer mes lèvres sur les siennes, et ne pas me prendre un retour de gifle, ou encore qu’elle ce recule pour arrêter ce baiser. Non là, elle restait assise sur son bureau, cela faisait maintenant quelques longues secondes qu’on était en train de s’embrasser, et au lieu de rompre cet instant, elle le prolongea d’elle-même intensifiant ce moment. Depuis que j’avais rencontré la jeune femme je ne n’avais jamais abandonné l’idée de la séduire, malgré ses refus dans les gestes mais jamais dans les paroles. On était en train d’échanger ce baiser, et je sentais sa main doucement ce déplacer pour atteindre mon torse, tout en appréciant la douceur de son pouce qui venait me caresser le visage, cette femme embrassait à merveille et était d’une douceur qui me plaisais beaucoup, et bien que j’avais une réputation de dragueur si je pouvais en croire d’après les dires de la jeune femme et de la façon dont elle me voyais, j’appréciais ce moment bien plus que lorsque j’étais avec d’autre femme, Audrey avait un truc en plus et je n’étais même pas capable de dire ce que c’était, mais ça m’attirais beaucoup ! Ma main qui ce trouvait dans le bas de son dos, passa sous le haut de la jeune femme pour venir lui caresser sa peau avec tout autant de délicatesse et de douceur qu’elle en avait avec moi, j’avais envie pour une fois de profiter de cet instant, quant à ma seconde main qui ce trouvait sur sa joue, descendait doucement le long du corps d’Audrey appréciant chaque partie de son corps où elle passait pour venir ce déposer sur la cuisse de la jeune femme, contre qui je me retrouvais désormais plus proche que jamais, aucun espace ne ce trouvait entre nous !